« J’aime faire rire les gens de leurs propres travers »
Un agent secret ou un détective privé dans un film des années 1970 : c'est l'image qui vient à l'esprit quand on aperçoit au loin Philippe Claudel sur le trottoir, en imperméable, casquette et lunettes de soleil, en train de chatter avec son téléphone - même si ces objets n'existaient évidemment pas à la grande époque de « Bébel ».
POURQUOI AIMONS-NOUS LES MONSTRES ?
Ils incarnent nos pulsions inavouables, nous rendent à nos terreurs premières, pointent notre insignifiance, et pourtant, des premières narrations aux derniers romans de Stephen King, nous persistons à chercher leur compagnie. Tentons d’expliquer notre tératophilie.
JÉRÔME GARCIN
« On ne doit jamais s’empêcher de lire les écrivains collaborationnistes »
Valérie Perrin AU PAYS DES FORGERONS
Gueugnon, petite ville de Saône-et-Loire célèbre pour ses forges et son club de football, a vu grandir l’autrice de Changer l’eau des fleurs et se trouve aujourd’hui au cœur de son roman Tata. La grande écrivaine populaire nous a fait visiter cette belle cité, avant de nous ouvrir sa maison, à quelques kilomètres de là.
UNE VIE DE PLATEAUX
En 2001, à l’arrêt de Bouillon de culture, Lire revenait sur l’épopée télévisuelle de Bernard Pivot au service du livre, commencée près de trois décennies plus tôt.
« QUE REPRÉSENTE BERNARD PIVOT POUR VOUS? »
Parce que ce sont les écrivains qui parlent le mieux de lui, nous avons posé la question à dix-neuf autrices et auteurs, qui nous confient ici leur vision de ce grand passeur de livres.
« J’aime faire rire les gens de leurs propres travers »
Un agent secret ou un détective privé dans un film des années 1970 : c'est l'image qui vient à l'esprit quand on aperçoit au loin Philippe Claudel sur le trottoir, en imperméable, casquette et lunettes de soleil, en train de chatter avec son téléphone - même si ces objets n'existaient évidemment pas à la grande époque de « Bébel ».
POURQUOI AIMONS-NOUS LES MONSTRES ?
Ils incarnent nos pulsions inavouables, nous rendent à nos terreurs premières, pointent notre insignifiance, et pourtant, des premières narrations aux derniers romans de Stephen King, nous persistons à chercher leur compagnie. Tentons d’expliquer notre tératophilie.
JÉRÔME GARCIN
« On ne doit jamais s’empêcher de lire les écrivains collaborationnistes »
Valérie Perrin AU PAYS DES FORGERONS
Gueugnon, petite ville de Saône-et-Loire célèbre pour ses forges et son club de football, a vu grandir l’autrice de Changer l’eau des fleurs et se trouve aujourd’hui au cœur de son roman Tata. La grande écrivaine populaire nous a fait visiter cette belle cité, avant de nous ouvrir sa maison, à quelques kilomètres de là.
UNE VIE DE PLATEAUX
En 2001, à l’arrêt de Bouillon de culture, Lire revenait sur l’épopée télévisuelle de Bernard Pivot au service du livre, commencée près de trois décennies plus tôt.
« QUE REPRÉSENTE BERNARD PIVOT POUR VOUS? »
Parce que ce sont les écrivains qui parlent le mieux de lui, nous avons posé la question à dix-neuf autrices et auteurs, qui nous confient ici leur vision de ce grand passeur de livres.